De tout temps, la guerre et l’humanité ont fait route commune. Née de la haine, de la soif de pouvoir et de la peur, la guerre est une machine de douleur qui écrase les innocents. Elle n’écoute pas, ne voit pas, ne ressent pas, ne sait que broyer et soumettre. Et après son passage, tout n’est que ruines et désolation.
Ce livre a été pensé, voulu, comme une torche lancée dans la mémoire endormie. Un album tout public, sombre mais nécessaire, grave mais utile. Après le succès de leur précédent titre Si j’étais un livre, La Guerre marque le retour sur la scène internationale des « deux Letria ».