Saviez-vous que les cancres aussi avaient des sentiments ? Dans la famille d’Hervé, on l’est de frère en frère. Des bêtises potaches à ses vols répétés d’animaux, l’adolescent raconte un quotidien entre la maison familiale et l’école où il ne trouve pas sa place. Parce qu’être cancre, c’est aussi se sentir condamné d’avance par le regard des profs. Heureusement, sa passion pour les animaux lui apporte un réel réconfort. Un jour, son frère lui propose de jouer dans la pièce qu’il monte avec des amis. Pour Hervé, le théâtre est un vrai choc et peut-être bien le début d’une découverte de soi…
Avec Le Voleur d’animaux, roman autobiographique, Hervé Walbecq dresse l’(auto-)portrait aussi fascinant que fantasque d’un acteur en devenir et invite les lecteurs à ne jamais renoncer à leurs rêves.