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L’éternité, mais sans moi

L’éternité, mais sans moi


Qui, mieux qu’un chat, peut apporter sa part de philosophie en matière de liberté, de cruauté et d’éternité? Cette conception du monde est-elle acceptable pour une fillette qui s’interroge sur le sens de la justice et de la compassion?

Christine, petite fille rebelle et incomprise, a pour amie une chatte des rues. Chaque jour, celle-ci l’attend sur un mur, à l’entrée d’un jardin. Elles discutent ensemble des sujets enssentiels de la vie: liberté, pitié – la grande question restant celle de l’éternité. La chatte a sept vies, et Christine, comme elle, se sent éternelle. Cependant elle sait aussi que l’éternité peut rétrécir si on la déchire, comme comme le fait le facteur, l’après-midi, avec le bruit de sa scie circulaire. Elle peut aussi s’arrêter, comme quand la chatte, cruelle et égoïste, déçoit les attentes de Christine.

Avec le sens aigu des questionnements de l’enfance qu’on lui connaît, Jutta Richter livre un texte sobre et profond, rythmé par une alternance de dialogues et de réflexions incisives. Les
illustrations au charme intemporel de R.S. Berner apportent un contrepoint ludique à ce récit un peu grave, comme peuvent l’être les enfants qui découvrent les limites de l’absolu.

Traducteur : Genia Català (allemand)

Âge : 12+

Pages : 80

Format : 11 x 18 cm

ISBN : 978-2882584724

Publication : 2008

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7.90 

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