Dans La Force du berger, Azouz Begag raconte des routes qui n’ont pas de carrefour : celle du père, ancien berger, ignorant les découvertes de l’humanité mais tourné vers La Mecque, et celle du fils qui a rejoint le savoir du monde moderne.
« La Force du berger, c’est la logique de l’analphabète face à son fils qui découvre les sciences à l’école ; c’est l’obstination d’un père qui refuse de croire que la terre est ronde. C’est aussi un magnifique petit roman, unique en son genre, simple, sensible et bien écrit; un sujet de réflexion sur l’intérêt d’apprendre…» Sélection Sorcières, 1991-92.
Dans Le Temps des villages, l’auteur s’interroge : que se passe-t-il dans la tête d’un jeune musulman vivant en France au moment de Noël ? Pourquoi n’y a-t-il pas d’arbre de Noël chez lui ? Comme dans la plupart de ses livres, Azouz Begag traite ici des problèmes rencontrés par les enfants de la deuxième génération d’immigrés, écartelés entre deux cultures.
Un récit émouvant et d’une profonde humanité.