Bruno, le panda, et William, le chien, sont fâchés.
Bruno claque la porte et part à vélo droit devant à travers les rues, passe des feux, des ronds-points, avant de prendre un bateau et d’atteindre la campagne… Il se retrouve même pris dans une course cycliste. Petit à petit il se calme. Il se remet même en question : il n’aurait peut-être pas dû dire cela, peut-être que c’est sa faute après tout…
Bruno se décide à rentrer. William lui manque. Mais que va-t-il dire ?
Dans la rue, William l’attend devant la porte…
Ici, tous les personnages sont des animaux et chaque page a une vraie profondeur, une multitude de détails, un petit quelque chose qui fait penser à l’univers de Richard Scarry.
Les dessins aux pastels et à l’aquarelle, rehaussés par des touches d’encre, un brin désuets, n’en sont pas moins terriblement vivants, tout en mouvement.
Bruno, le panda, et William, le chien, sont fâchés.
Bruno claque la porte et part à vélo droit devant à travers les rues, passe des feux, des ronds-points, avant de prendre un bateau et d’atteindre la campagne… Il se retrouve même pris dans une course cycliste. Petit à petit il se calme. Il se remet même en question : il n’aurait peut-être pas dû dire cela, peut-être que c’est sa faute après tout…
Bruno se décide à rentrer. William lui manque. Mais que va-t-il dire ?